Liquidations conjugales, liquidations successorales, méthodologie, applications chiffrées, etc..

• Venez liquider des régimes matrimoniaux, des régimes  « pacsimoniaux », consécutifs à une rupture ou à un décès ;
• Venez liquider les intérêts patrimoniaux des ex-concubins, après une rupture « entre vifs » ou suite à un décès !
• Apprenez à liquider une succession, sans conjoint, avec conjoint, en l’absence ou en présence de libéralités entre vifs et/ou  cause de mort [sans donation entre vifs, avec donation(s) entre vifs, en avance de part avec ou sans clause « 845 », hors part successorale, « mixte(s) », legs testamentaire, donation entre époux au dernier vivant]
• Venez apprendre à liquider les droits légaux du conjoint survivant, en général et lorsque ce dernier a également été gratifié par le défunt ? Imputation, « rapport spécial »…  ?
• Comment faire pour liquider une succession en présence d’une donation-partage, égalitaire, non égalitaire ? Existe-t-il une méthode spéciale à suivre compte tenu de la spécificité de la donation-partage ?

Vision Globale – Compréhension du travail liquidatif – Méthodologie – Explications et nombreuses Applications chiffrées

« Janus bifrons, le liquidateur est moitié juriste, moitié mathématicien. En effet, matrimoniale ou successorale, la liquidation oblige à convertir les exigences théoriques de textes impersonnels en chiffres impitoyablement prosaïques. C’est ce qui fait le charme irritant et la succulente difficulté de l’exercice. »

Bernard Vareille, professeur à l’Université de Limoges

• In Defrénois, n°8 du 30 avril 2016, « Proportionnalité et acquisition sous le régime de la communauté »